Services CVFM
Analyse Affiliation Noms de domaines Référencement Formations/Conférences Salon
Referencement, positionnement
24pm
Newsletters
 Nouvelle Economie
 Guide de l'ebusiness
 Etudes de cas
 Les nouvelles règles
 Discussions
 Interviews
 Vidéo
Référencement
 Emploi
Etudes et Stats
 Appel d'offres web
 Sellbuyweb
  Agents Intelligents
 Annuaire Web
 CVFM
 Présentation
 Revue de presse
 Nous contacter
La nouvelle économie
 Guide de l'ebusiness 

Le Guide du commerce électronique
Raphaël RICHARD

Dans ce chaos généralisé, seuls parviennent à tirer leur épingle du jeu, les marchands qui ont un produit sur lesquels il existe un déficit d'information (spécialités françaises comme la porcelaine, le vin - certains crus tout au moins -...) ou des produits qui séduisent en eux-même (la Riviera par exemple).

Aussi longtemps que la mise en place de sites web commerciaux sera confié à des techniciens ou des communicants, le commerce électronique ne décollera pas. C'est seulement au moment où les cybervendeurs commenceront à prendre le pouvoir que l'on prendra l'ampleur de la révolution du commerce électronique. On comprendra bien évidemment par là que je parle non seulement d'un problème de compétences au niveau des individus mais également d'un manque de maturité des modèles économiques et dans l'organisation des entreprises qui prévalent pour le moment.
 

Les freins psychologiques 

Piratage, délinquance informatique, réseau du crime organisé, présence de groupuscules extrémistes, l'Internet serait le paradis des malfaiteurs du monde entiers. Les effets loupe qui se produisent lorsque la presse s'empare de certains sujets, les exploite et surexploite, ont largement contribué à brouiller les cartes dans l'esprit du public; les véritables enjeux se cachant derrière Internet restant bien entendu passés sous silence ou largement minimisé. A cela plusieurs explications: tout d'abord, les journalistes ne sont que des journalistes (:-). 
(droit de réponse: france@usa.net)

Ensuite, parce que l'apparition de tout nouveau médium se heurte dans la plupart des pays à l'atavisme inhérent à toute société. Il est difficile de se réapproprier un outil appréhendé comme 'technologique'. Difficile d'accepter l'apparition de nouveaux outils qui conduiront à une modification à plus ou moins brève échéance des comportements professionnels. La plupart d'entre nous sommes spontanément enclins à préférer les outils et les habitudes que nous connaissons, quelles que soient les avantages promis par les nouvelles technologies.

Puis, l'atavisme ambiant varie selon les sociétés. On peut beaucoup reprocher à la société nord-américaine, il n'en reste pas moins qu'elle
 

Revenir au sommaire



Vous aimez ce site ?
Recommandez-le à vos amis
Newsletters gratuites
Cliquez ici pour vous abonner

 

copyrights